Dernière modification le 29 mars 2020 par jeff


Comment éviter que votre enfant oubli le contenu des cours de la journée. Pourquoi les meilleurs conseils des parents et les meilleures cours ne sont pas appliqués ?

Dans ce dossier vous allez comprendre :

  • Pourquoi votre enfant (et les élèves en général) mémorise que peu ou pas du tout ses cours.
  • Comment vous pouvez aider votre enfant.
  • Comment fonctionnent la mémoire et l’oubli pour en retirer des enseignements pour vous-même (notamment dans votre activité professionnelle)

 

Comme parents, vous avez déjà essayé de donner des conseils à vos enfants, ils écoutent sincèrement, mais ne mettent pas en pratique. Ils reproduisent les mêmes schémas.

Et vous avez probablement constaté que votre enfant retient peu voire pas du tous ses cours du jour ou de la veille. Vous avez beau lui faire « la morale », l’encourager. Rien n’y fait vraiment.

C’est frustrant. Et, je peux vous dire que je connais bien cela moi-même, et encore aujourd’hui.

Mais je vous dire une chose : c’est tout à fait normal.

Comment cela s’explique-t-il ?

Comment faire pour que ce que vous pouvez enseigner, ou conseiller, soit retenu ?

C’est ce que l’on va voir ici.

 

Pourquoi ce qui est enseigné (et même les conseils que vous pouvez donner) n’est que peu voire très peu retenu chez votre enfant ?

 

Savez-vous que l’une des fonctions essentielles du cerveau est l’oubli. Ça, vous l’avez bien sûr constaté.

Mais sachez que c’est normal.

Le cerveau ne peut pas stocker toutes les informations.

Il conserve seulement ce qui est important.

Le cerveau effectue un tri des informations qu’il reçoit, entre celles qu’il estime pertinentes (qu’il garde), et celle qu’il estime non pertinente (et donc qu’il efface).

Ces informations jugées non pertinentes sombrent alors dans l’oubli.

On dit alors qu’il y a une perte de mémoire. Ce n’est pas tout à fait vrai. L’information que vous voulez apprendre n’a pas passé la barrière de la sélection. C’est tout.

On aimerait tous avoir une bonne mémoire et réduire l’oubli. Ô combien vrai pour ceux qui préparent un examen, un concours.

Et pourtant la nature est bien faite.

Pour le neuroscientifique Blake Richards, c’est une erreur de considérer l’oubli comme un handicap. Au contraire, l’oubli participe à un processus qui rend le cerveau plus efficace.

«Il est important que le cerveau oublie des détails non pertinents et se concentre plutôt sur les choses qui vont aider à prendre des décisions dans le monde réel. Si vous essayez de naviguer dans le monde et que votre cerveau émet constamment de multiples souvenirs conflictuels, cela rend plus difficile une prise de décision éclairée.

Si vous vous souveniez de tout, il serait difficile de distinguer les informations importantes des informations sans importance. De plus, plus vous en savez, plus il faut de temps pour «rappeler» des souvenirs. Comme une boîte de réception de courriels bondée: plus vous avez de courriels, plus il vous faut de temps pour en trouver un en particulier. »

Pour le neuroscientique Henning Beck

« Nous devons oublier pour nous souvenir des choses importantes. Par conséquent, le cerveau n’organise pas les informations comme vous le faites sur votre ordinateur. »

Plusieurs mécanismes favorisent la perte de mémoire.

L’un de ces mécanismes consiste à affaiblir, voire à éliminer, des connexions synaptiques entre neurones qui servent à coder la mémoire.

Comment le cerveau fait-il sa sélection, comme il « juge » une information importante , et qui mérite d’être mémorisée ? Lorsqu’elle cette information est utilisée régulièrement.

Une information est appelée et donc répétée régulièrement par 2 moyens.

Moyen n°1. Par un apprentissage avec le par cœur. Par exemple lorsque vous apprenez une poésie ; un texte si vous jouez dans une pièce de théâtre; du vocabulaire si vous apprenez une langue étrangère. OK, c’est peut-être l’enfer, mais vous ne pouvez pas passer à côté du « par cœur ».

Vous devez répéter un certain nombre de fois presque de façon machinale.

Mais lorsque vous ne répétez plus, vous oubliez ce que vous avez appris, car jugé inutile par le cerveau.

J’imagine, par exemple, que vous ne vous souvenez plus des poésies que vous avez apprises à l’école.

Moyen n°2. Utilisation immédiate et régulière du contenu. C’est la mise en pratique d’un savoir.

C’est ce que l’on voit dans la formation professionnelle, comme lorsque des élèves apprennent la plomberie, le jardinage, etc.

 

Comment se manifeste l’oubli ? À quelle vitesse oublie-t-on ? Par exemple que retiennent les élèves d’un cours ?

 

Pour le savoir, il y a la courbe de l’oubli conceptualisée en 1885 par un psychologue allemand, Herman Ebbinghaus.

Qu’est-ce que cette courbe de l’oubli ?

La courbe de l’oubli indique que vous vous remémorez environ 60% d’un contenu d’un cours après 20 minutes seulement.

 

Et si ce contenu n’est pas révisé, ou revu d’une manière ou d’une autre, il ne restera plus que 50% du contenu mémorisé au bout d’une heure. Et, un peu plus de 30% au bout de 9 heures.

Donc sans rappel (méthode 1 et/ou 2) vos élèves n’auront retenu que 30% du contenu de votre cours le lendemain.

Il ne leur restera plus que 20% au bout de 30 jours. Puis quasiment plus rien au bout de quelques mois.

Alors oui, se baser sur une découverte et une conceptualisation qui date de 1885, c’est un peu ancien.

Quel crédit scientifique accorder à cette courbe de l’oubli ?

Ebbinghaus n’a pris de sujet expérimental que lui-même. Il a d’ailleurs pris soin de prévenir : ses résultats n’avaient de signification qu’individuelle, même s’il pensait que leurs valeurs pouvaient être universelles.

Scientifiquement parlant, ce n’est pas terrible. Il faudrait que son hypothèse soit validée par plusieurs sujets.

Les résultats d’Ebbinghaus sont statistiques, et portent sur la mémorisation de séries de syllabes de trois lettres sans signification afin de ne pas biaiser la rétention par des significations associées.

 

La courbe de l’oubli a été depuis testée

 

Même si les résultats peuvent un peu varier, l’idée même d’Herman Hebbinghaus a été confirmée par des tests.

Il y a eu une évaluation faite en 1985, et plus récemment en 2015 par des chercheurs de l’université d’Amsterdam qui conclut ainsi :

« Un sujet a passé 70 heures à apprendre des listes et à les réapprendre après 20 minutes, 1 heure, 9 heures, 1 jour, 2 jours ou 31 jours. Les résultats sont similaires aux données originales d’Ebbinghaus.

Nous concluons que la courbe d’oubli d’Ebbinghaus a bien été reproduite… »

Je vous l’accorde, le point faible de cette étude est qu’il n’y a eu qu’un seul sujet testé. C’est un peu court.

Scientifiquement parlant, il aurait fallu prendre un échantillon représentatif d’une population, à savoir au moins 1000 personnes.

Mais, une étude coute très cher à réaliser. Ce sont des fonds publics, une étude en elle-même ne rapporte rien.

Pouvoir se baser sur ces tests, c’est déjà bien. D’ailleurs, chacun a pu constater la pertinence de la courbe d’oubli d’Ebbinghaus dans la pratique.

C’est pour cela qu’elle est devenue célèbre d’ailleurs.

Un autre outil intéressant est la pyramide de l’apprentissage d’Edgar Dale, conceptualisé en 1946.

 

La pyramide de l’apprentissage d’Edgar DALE

 

La pyramide de l’apprentissage donne une vision assez intéressante de la rétention du savoir, c’est-à-dire par quelle pratique on retient le mieux.

 

Cette pyramide de l’apprentissage indique que :

l’on retient 90% d’un savoir quand on l’enseigne ;

75% par la mise en pratique ;

50% par la discussion ;

30% par la démonstration ;

20% par le fait de regarder une vidéo ou une émission TV ;

10% en lisant.

Ne vous êtes pas rendu compte que vous n’avez jamais autant appris que lorsque vous avez enseigné quelque chose à d’autres ?

Pour en revenir à la pyramide de l’apprentissage d’Edgar Dale.

Scientifiquement parlant elle n’est pas validée dans la répartition des pourcentages.

Ces pourcentages ont été ajoutés à la pyramide par une grosse entreprise de formation américaine : le National training laboratories (NTL) Institute.

Mais les auteurs de ces valeurs précisent bien qu’il s’agit d’une perception toute personnelle.

Mais cette conceptualisation d’Edgar Dale, fondée sur l’expérience, reste quand même intéressante, même si aucune étude sérieuse n’a été menée sur le sujet.

 

Voilà pourquoi votre enfant oublie

 

Vous avez donc explication de l’oubli chez les élèves et chez votre enfant.

Ce n’est pas une excuse. Mais, cela vous donne un point de regard différent, et donc vous vous trouverez dans une meilleure disposition d’esprit.

Ainsi la probabilité d’améliorer l’apprentissage chez les élèves sera bien meilleure.

S’ils oublient ce que vous avez dit dans un cours la vieille, prenez conscience que ce n’est pas forcément contre vous.

Il y a toujours cette question de l’application.

Prenons un cours de danse par exemple.

Si vous prenez un cours par semaine, mais que vous ne pratiquez pas en soirée, car vous ne vous estimez pas assez bon, vous avez peur du rejet, du jugement des autres, alors vous avancerez peu.

Le professeur de danse, lui, sera bien embêté, il verra que vous ne faites pas beaucoup de progrès, mais il ne pourra pas plus vous aider.

C’est exactement pareil dans une langue étrangère. Que reste-t-il de vos cours en langue étrangère comme l’anglais, si vous n’avez jamais pratiqué ? Rien! Même si vous avez été plutôt bon élève à l’école.

Donc cela voudrait dire que toutes les formations en entreprises qui ne sont pas appliquées sont oubliées et ne servent à rien ? Des milliards seraient donc gaspillés ?

Je sais, la formation professionnelle ne concerne pas votre enfant, mais il est intéressant de l’aborder pour comprendre le processus d’apprentissage. Et peut-être même, cela peut vous concerner dans votre travail.

Alors allons-y!

Si les formations ne trouvent pas une application concrète sur le terrain, qui donne l’occasion d’un rappel des connaissances vues, alors oui : les formations ne servent à rien.

 

Pourquoi une formation ne sert à rien

 

Non pas à cause de la qualité même de la formation, mais par l’absence de mode de rappel des connaissances, ici par un contexte qui favorise la mise en pratique.

C’est ce que montre d’ailleurs une étude publiée en 2016 par le Harvard Business Review , la revue business de la prestigieuse université d’Harvard.

Elle prend l’exemple de la formation des managers.

Un échantillon représentatif de 1.500 hauts cadres dirigeants (provenant de 50 organisations différentes) a été étudié.

Cette étude indique que les milliards investis, tous les ans, dans la formation des managers n’améliorent pas, dans la plupart des cas, l’efficacité des organisations.

Constat plus édifiant : la grande majorité des managers adoptent de nouveau leur fonctionnement antérieur dès leur retour dans l’entreprise.

L’étude insiste bien sur le fait que ce n’est pas la qualité des formations qui est en jeu, ni même l’envie sincère des cadres supérieurs formés.

Selon les auteurs de cette étude « Les managers s’inscrivent en fonction de leurs besoins supposés sans que personne ne s’interroge quant à la façon dont pourrait se faire la mise en pratique réelle au sein de leur écosystème.»

C’est pour cette raison qu’en France a été mis en place en 2018 le dispositif AFEST, Action de formation en situation de travail.

Vous pourrez trouver plus de détails sur ce sujet dans les références.

Donc vous comprenez que donner des conseils ne sert pas à grand-chose s’il n’y a pas un terrain d’application favorable où l’information peut être répétée.

Et donc, c’est pour cela que les habitudes, les anciens schémas reprennent le dessus malgré une formation de qualité, malgré les meilleurs conseils du monde.

Mais vous ne pouvez pas tout maîtriser. Si l’élève ne cherche pas à appliquer. Vous n’y pouvez rien. Si vous êtes passionné(e), je sais que mon propos ici peut vous choquer. Mais c’est ainsi. Par moments lâcher prise sur ce point vous évite de vous épuiser pour rien. Car c’est un élément qui est entre les mains de l’élève, et que vous ne pouvez pas maîtriser.

Si vos enfants vous écoutent sincèrement, mais n’ont pas l’occasion de mettre en pratique, vos bons conseils seront peu utiles.

Quand est-ce que le terrain de l’application et donc de la répétition d’un contenu est favorable ?

 

Un problème douloureux et des examens

 

Essentiellement dans 2 contextes

1. Quand il y a un problème urgent et douloureux à résoudre.

Un ami me rend visite et me demande un conseil pour son adolescent qui n’apprend pas à l’école, il était en constant conflit, il n’en pouvait plus.

Vous voyez que le problème de mon ami était urgent et douloureux.

Il a assisté à une de mes formations. Et je peux vous garantir qu’il a écouté et appliqué.

Pourquoi ? Parce qu’il avait un problème fort et urgent à résoudre.

2. Un examen ou un concours à préparer.

Vous constaterez que c’est en vue des examens que les élèves se mettent vraiment à appliquer, à revoir leur cours, à faire les exercices.

Si vous n’avez ni l’un ni l’autre de ces leviers alors ça sera difficile.

Surtout quand les matières enseignées sont dans un programme et qu’elles ne sont pas spécialement « passionnantes ».

Je me souviens lorsque j’enseignais en lycée technique, en BTS FEE par exemple.

Mes élèves avaient bien du mal à trouver un contexte où appliquer l’économie et la gestion que je leur enseignais.

L’occasion du rappel des connaissances ne pouvait se faire au moment de préparer l’examen.

Sauf ceux qui avaient le projet de monter leur propre entreprise. Là, leur professeur pouvait, par ses cours, résoudre un bon nombre de problèmes rencontrés dans la création de société.

Quelles solutions pour une répétition espacée

Plusieurs solutions sont envisageables .

. Utilisation des cartes mémoire ou « flash cards » – Pour apprendre le par cœur vous pouvez orienter vos élèves vers l’utilisation des cartes mémoire. (Voir la vidéo Youtube sur les flash cards)

. Pratique et application immédiate – Si votre enfant est en primaire, utilisez le plus possible des situations pratiques dans les devoirs. C’est surtout le cas pour les mathématiques, lorsque des tables de multiplication sont à apprendre par exemple. 

Pour le français, vous pouvez inciter votre enfant à lire systématiquement ce qu’il voit. Par exemple pour ma fille de 7 ans, qui est en CE1, je la pousse à lire les sms de sa maman, de lire les descriptions de textes lorsqu’elle va sur Youtube pour voir des vidéos de maquillage.

Si votre enfant est plus grand, que vous ne faites plus les devoirs depuis un certain temps, vous avez moins de pouvoir d’action. Vous avez par contre une compréhension qui vous donne un angle de vue qui vous évite de stresser. Vous pouvez aider votre enfant à trouver la solution.

Au niveau étude l’application immédiate peut se faire au mieux dans la formation professionnelle; c’est pour cela que nombre de jeunes y trouvent un épanouissement. Par contre, pour que l’apprentissage soit optimum, votre enfant doit comprendre qu’il est dans cette filière par choix et non pas par dépit.

À l’école, l’application immédiate concerne davantage les matières accès sur le concret (technique, physique…).

Pour les matières littéraires il est possible d’inscrire son enfant au théâtre par exemple. Rien de tel pour travailler le côté pratique de français. Vous avez aussi la lecture. Quand vous le pouvez, essayez d’amener votre enfant à lire des livres qui puissent le passionner. 

Avec Harry Potter, l’écrivain J-K Rolling a permis à de nombreux adolescents de lire et de s’améliorer en français.

Pour les langues étrangères, le séjour linguistique est idéal [voir la vidéo YouTube sur la réussite du séjour linguistique]. 

Si vous avez un enfant qui a des difficultés dans son cursus scolaire, alors regardez sont profil d’apprentissage, particulièrement son profil de motivation. S’il se plaint souvent que l’école on y apprend rien de pratique; alors il est probable que son profil de motivation principal soit « Quelle utilité ? » : votre enfant à besoin de connaître l’utilité concrète de ce qu’il apprend pour être motivé.

Chez certains enfants, cette forme de motivation est particulièrement forte. d’où une forme de découragement à l’école. 
Si vous souhaitez connaître avec certitude le profil d’apprentissage de votre enfant, le seul moyen est de faire le test complet. [cliquez ici pour voir le test des profils d’apprentissage]

 

Version vidéo

NotaLa vidéo en dessous s’adresse essentiellement à un public d’enseignants et de formateurs. Mais vous pouvez y trouver des éléments utiles.

Pour voir la vidéo directement sur Youtube

 

Pour voir la liste des vidéos de la chaîne logo-YouTube

Sources et références

 

Évaluation la courbe de l’oubli

Jaap M. J. Murre* and Joeri Dros « Replication and Analysis of Ebbinghaus’ Forgetting Curve »
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4492928/

Loftus, Geoffrey R., « Evaluating forgetting curves », Journal of Experimental Psychology: Learning, Memory, and Cognition, no 11,? 1985. https://doi.org/10.1037/0278-7393.11.2.397

Pyramide de l’apprentissage d’Edgar DALES

KÅRE LETRUD Lillehammer University College « A rebuttal of NTL Institute’s learning pyramid » (Janvier 2012)
https://www.researchgate.net/publication/285798853_A_rebuttal_of_NTL_Institute’s_learning_pyramid

Ken Masters « Edgar Dale’s Pyramid of Learning in medical education: A literature review »
Janvier 2013) https://doi.org/10.3109/0142159X.2013.800636

Jen Kim « This Is How You Should Learn . Think it’s beginner’s luck? Think again. There’s a science to becoming skilled » Pyschology Today (Avril 2015)
https://www.psychologytoday.com/us/blog/valley-girl-brain/201504/is-how-you-should-learn

Fiche wikipedia du National Training Laboratories: https://en.wikipedia.org/wiki/National_Training_Laboratories

Efficacité de la formation en entreprise

Michael Beer , Magnus Finnström, Derek Schrader« Why Leadership Training Fails—and What to Do About It » Harvard Business Review (Octobre 2016)
: https://hbr.org/2016/10/why-leadership-training-fails-and-what-to-do-about-it

Eric Albert « Quand la formation ne sert à rien » les échos (octobre 2016) https://business.lesechos.fr/directions-generales/strategie/organisation-des-entreprises/0211354443346-quand-la-formation-ne-sert-a-rien-300766.php

Peter Bregman « Diversity Training Doesn’t Work. Diversity training doesn’t extinguish prejudice. It promotes it » Pyschology Today (Mars 2012)
https://www.psychologytoday.com/us/blog/how-we-work/201203/diversity-training-doesnt-work

Pour comprendre ce qu’est L‘AFEST (Action de formation en situation de travail) – Loi Avenir du 5 septembre 2018

10 questions sur l’AFEST (CEGOS) https://www.cegos.fr/actualites/dossier-reforme-de-la-formation/faq-reglementation-formation-professionnelle/10-questions-sur-l-afest

Qu’est-ce que l’AFEST ? https://www.opcalia.com/actualites/afest-la-formation-en-situation-de-travail-issue-du-compagnonnage

Auteurs cités

Blake A. Richards, Paul W. Frankland « The Persistence and Transience of Memory » Neuron (Avril 2017) https://doi.org/10.1016/j.neuron.2017.04.037

Henning Beck Ph.D. « The Power of Forgetting » Pyschology Today (Novembre 2013) https://www.psychologytoday.com/us/blog/scatterbrain/201911/the-power-forgetting

Jonathan M.Fawcett, Justin C.Hulbert, « The Many Faces of Forgetting: Toward a Constructive View of Forgetting in Everyday Life » Journal of Applied Research in Memory and Cognition (Janvier 2020). https://doi.org/10.1016/j.jarmac.2019.11.002

 

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